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Mieux comprendre pour mieux prendre en charge

PUBLIÉ LE 01/07/2022 - MIS À JOUR LE 03/11/2022
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Animation : Sylvie Le Gac, directrice scientifique, Agence Profession Santé
 
Introduction :

Le point de la recherche sur l’obésité

Les travaux de recherche de Karine Clément visent à mieux comprendre la physiopathologie des obésités sévères, en particulier l’altération des dialogues inter-organes, mais également des obésités génétiques rares. Éclairage.

– Karine Clément, endocrinologue, unité Inserm nutriomique, hôpital de la Pitié-Salpêtrière, Paris

 

Table ronde 1 :

L’obésité, une maladie multifactorielle et aux conséquences multiples

L’obésité est un problème de santé complexe qui a des conséquences graves, notamment sur la santé physique et mentale. Quels risques cardiométaboliques, de cancers, de troubles psychiatriques, pour quelles prises en charge ? Regards croisés.

– Rémy Bation, psychiatre, centre obésité, hôpital Lyon Sud

– Muriel Coupaye, endocrinologue, hôpital Louis-Mourier, Colombes et présidente de l’Association française d’étude et de recherche sur l’obésité (Afero)

– Laurent Zélek, oncologue, hôpital Avicenne, Bobigny

 

Table ronde 2 :

L’obésité de l’adulte : quels parcours de soins ?

Quelles que soient les options thérapeutiques (chirurgie de l’obésité, prise en charge médicamenteuse, corrections des troubles du comportement alimentaire), le patient obèse doit être accompagné pendant plusieurs années par une équipe pluridisciplinaire pour s’assurer de toutes les chances de réussite.

– Anne-Sophie Joly, présidente du Collectif national des associations d’obèses (CNAO)

– Laura Montana, chirurgien viscéral et digestif, groupe hospitalier Diaconesses Croix Saint-Simon, Paris

– Monique Romon, médecin, présidente de l’association Rest’O, coporteur du projet GPS-Obésité (gestion du parcours de soins dans l’obésité)

– Philippe Topart, chirurgien bariatrique, clinique de l’Anjou, Angers

 

Table ronde 3 :

Changer les regards envers l’obésité

Alors que le mot « grossophobie » a fait son entrée dans le dictionnaire, les préjugés autour de l’obésité et de ceux qui en souffrent persistent dans l’opinion publique. Obèse donc coupable ? Comment changer les « a priori » ? Quelles initiatives mener ?

– Sylvie Benkemoun, psychologue clinicienne, présidente du Groupe de réflexion sur l’obésité et le surpoids (GROS)

– Catherine Grangeard, psychanalyste et psychosociologue

– Thibaut de Saint Pol, sociologue

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